Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

My Name Is O Rénat O

  • renato
  • quand les maux se font sentir, je voudrait crier, alors j'écrit, je crie mes peurs, mes joies, mes doutes, mes colères avec la plume.
  • quand les maux se font sentir, je voudrait crier, alors j'écrit, je crie mes peurs, mes joies, mes doutes, mes colères avec la plume.

Liens

17 juillet 2014 4 17 /07 /juillet /2014 07:56

joyeux zaniversaire à la marquisede la charbonnière

Partager cet article
Repost0
12 juillet 2013 5 12 /07 /juillet /2013 15:49

imagesCAZS7KUC.jpgLa Marquise de la Charbonnière

en cette journée d'anniversaire

au joli bois c'est promenée

sans son Marquis à ses côtés

sans son Marquis à ses côtés

 

Plus d'opéra, plus de concerts

et de parties de jambes en l'air

s'en est finit de volupté

Monsieur l'Marquis s'en ait allé

Monsieur l'Marquis s'en ait allé

 

Il était beau il était fier

c'était jadis, c'était hier

quand la Marquise en liberté

venait le couvrir de baisers

venait le couvrir de baisers

 

Les souvenirs lui sont restés

au fond du coeur lui sont gravés

et de la plume de son chapeau

il vous écrit ses quelques mots

il vous écrit ses quelques mots

 

"Chère Marquise,

que cette journée vous soit exquise

je vous retrouverais dans mes rêves cette nuit

pour peut que vous y soiyez aussi."

 

copyright RB 

Partager cet article
Repost0
26 mars 2013 2 26 /03 /mars /2013 14:05

Mon ange ma princesse

 

Depuis si longtemps je rêve et je pense à toi

A peine adolescent je te voyais déjà

Je t’imaginais petite blottie dans mes bras

Là contre mon cœur je te racontais tout bas

 

De belles histoires de fées, de belles histoires de roi

De petits lutins qui jouent et courent dans les bois

Dans les jupons de princesses couvertes de fleurs

Des royaumes de beauté plein de belles couleurs

 

Toi tu grandissais tu faisais tes premiers pas

Et quand la première foi tu m’as appelé papa

Je me suis dit qu’un ange était là devant moi

J’étais le gardien qui te montrerait la voie

 

Sur le chemin de la vie je prenais ta main

Je te protégeais des embûches et des vilains

Et toi tu grandissais jusqu’à l’adolescence

Et tu te jouais de la vie avec insouciance

 

Tu devenais une femme tu étais ma princesse

Tu t’éloignais de moi et j’avais peur sans cesse

Tes sorties, tes rencontres, tes fréquentations

Car je le sais bien moi ce que veulent les garçons

 

Témoin de tes joies et de tes premiers chagrins

J’étais l’épaule de tes larmes ton premier soutiens

Echecs ou réussites étaient aussi les miens

Jusqu’à ce que seule tu continue le chemin

 

Parfois, la nuit, j’emprunte toujours seul ce cheminimagesCAV6QHAG.jpg

Où les rêves passés sont les regrets de demain

Je marche auprès de la plus jolie des princesses

Qui me glisse à l’oreille d’une voix pleine de tendresse

 

Ce n’est qu’un rêve papa, réveille toi.

 

©Renato Battaglia

Partager cet article
Repost0
16 mars 2013 6 16 /03 /mars /2013 08:30

Les larmes d’Alain

 

L’homme ne pleur jamais

Même pas de bonheur

Ni même de malheur

L’homme ne pleur jamais

Il a la pudeur

Force et dignité

Il a la grandeur

Même fragilisé

Tel le samouraï

Il sait taire ses failles

Par des lunettes noires

Il masque son cafard

Des femmes l’on touché

Ils se sont aimés

Même la mort dans l’âme

Pas l’ombre d’une larme

Mais qui est cette pierre,

qui se donne des airs?

Ses yeux bleu saphir

Semblent ne pas souffrir

Pourtant je l’ai vue

La larme d’Alain

Le visage ému

Hommage à Gabin

Son ami son maitre

Son père spirituel

L’amitié d’un être

Il y reste fidèle

Nostalgie d’antan

où le cœur et l’âme

En disaient autant

Sanimages-6-.jpgs aucun vacarme

Ces modestes vers

De larmes inspirées

En écrit sincère

Je voulais montrer

Mon admiration

A Monsieur Delon

Faire un vœu en vain

Croiser son chemin

Les yeux dans les yeux

Lui serrer la main

Essuyer une larme

Dire merci Alain.

 

© Renato Battaglia

 

Partager cet article
Repost0
14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 16:41

images-1-.jpgL’étincelle de l’amour

 

Sous ton joli chemisier

De blanches dentelles brodées

Se dessinent au décolleté

Deux belles formes à faire rêver.

 

Rêver d’un sensuel voyage

Où les draps seraient nuages.

La douceur de ton visage

Nous pousse au libertinage.

 

Libertinage, doux, fripon

Là, je dégrafe un bouton.

Une main te caresse le front

L’autre dégrafe le second.

 

Le second me laisse songeur

Il s’est ouvert sur ton cœur.

Je l’entends à l’intérieur

Palpiter avec ardeur.

 

Ardeur qui éveille tes sens

Tu te donnes avec confiance.

Les dentelles de l’élégance

S’ouvrent avec magnificence.

 

Magnificence d’une peau douce

Que j’effleure avec le pouce.

Sous mes doigts tu te trémousses

C’est ta jupe que je retrousse.

 

Retrousse jusqu’en haut des cuisses

Se sont tes joues qui rougissent.

Sur tes hanches sans artifices

Doucement mes mains se glissent.

 

Glisse ma bouche avec paresse

Vers le doux fruit de l’ivresse.

Qui se gonfle avec finesse

Sous mes lèvres de tendresse.

 

Tendresse envahit ton corps

Les sens s’affolent et implorent.

Plaisir, jouissance te dévorent

Ta voix réclame, encor !

 

Encor atteindre le ciel

Sur ce nuage de flanelle.

Que dans tes yeux l’étincelle

De l’amour soit éternelle.

 

©Renato Battaglia

Partager cet article
Repost0
5 février 2013 2 05 /02 /février /2013 09:02

petitfillmoulin.jpg

La petite fille du moulin

Je vais vous raconter l'histoire d'une jolie petite fille,
une dizaine d'années au plus, la cadette de la famille.
Elle vivait dans les années quarante, un petit village,
cerné de montagnes semblant vouloir percer les nuages.
Près de trois kilomètres plus bas, un moulin à eau
s'élevait tel un clocher sur la berge, sur trois niveaux.
Chaque soir avant que l'obscurité ne vienne à tomber,

Elle devait descendre seule au fleuve porter le dîner.
Chaque soir, avec inquiétude et appétit, son papa,
meunier de son état, attendait fillette et repas.

Elle portait des sabots de bois et des chaussettes de laine,
une grande cape marron à capuche et une paire de mitaines,
un grand morceau d'étoffe petits carreaux vert et bleu clair,
contenait la soupe, un morceau de pain et les couverts.

La voilà sur le sentier tout en descente, en chantant
pour conjurer la peur du soir et le souffle du vent,
pressant le pas pour ne pas être envahie de terreur,
car on lui avait raconté des histoires à faire peur.
Caché dans une grotte, entre la rivière et le moulin,
il y avait un trésor gardé par un monstre vilain.
Enfin, elle arrivait à destination, tremblante
de peur et aussi de froid mais toujours souriante,
offrant au meunier, son papa, ce modeste repas,
contre deux secondes de tendresse, blottie dans ses bras.

Très vite, il reprend son labeur, mille choses à faire la nuit ;
alors que la fillette cherche le sommeil parmi les bruits.

Puis au lever du jour, elle doit remonter au village,
car à cette époque, il ne suffisait pas d'être sage.
Les enfants ne rêvaient pas de princesse et de châteaux.

Ils devaient faire preuve de courage et porter leur fardeau.
Elle est très loin cette époque et la fillette a grandi.
Avec force et amour, a fait de moi ce que je suis,
il y a des mots que l'on ne dit pas par pudeur d'enfant,
ces quelques vers sont pour toi, je le dis, je t'aime maman.

 

©Renato Battaglia

 

Partager cet article
Repost0
16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 11:33

Le sourire d'une femme

 sourire d'une femme

Le sourire d'une femme

Nous dévoile son âme

Il est l'arc en ciel

Sur un cœur pastel

 

Le sourire d'une femme

Qui assèche les larmes

Qui dissuade nos peurs

Apaise nos douleurs

 

Le sourire d'une femme

Toujours plein de charme

Beauté sans pareil

Chaud tel un soleil

 

Le sourire d'une femme

Qui parfois désarme

Est beauté sensuelle

Est force naturelle

 

Le sourire d'une femme

Cache parfois des larmes

Dans ce monde cruel

Où le  " Il " a l'avantage sur Elle.

 

©renato battaglia

 

Partager cet article
Repost0
14 janvier 2013 1 14 /01 /janvier /2013 09:14

Le bonhomme de neigebonhomeneige.jpg

Des milliers de flocons tombent sur la clairière
l'herbe verdoyante se couvre de l'habit d'hiver
les arbres tendent leur longues branches nues
même pas froid, la neige se pose dessus

Les enfants qui courent et qui crient
ont vêtu bonnet, écharpe et après-skis
leurs cris assourdis par la poudreuse
résonnent dans la vallée heureuse

De petites boules se forment et volent
d'autres sont roulées et se collent
formant alors une boule énorme
surplombée d'une plus petite forme

Il n'est encor qu'un fantôme blanc
quand ils lui mettent une pipe entre les dents
puis la carotte qui lui sert de nez
pour les yeux deux cailloux de chaque coté

Un bonnet et un cache-col ! S’écrit le petit
sinon il va prendre froid cette nuit
comme il se tient droit, comme il est fier
ce gros bonhomme blanc de matière éphémère

Car, sans mot dire, à la nuit tombée
il va se fondre dans le décor et s'en aller
laissant là, les yeux, la pipe, le nez
et le manteau blanc qu'on lui a prêtés.

©renato battaglia

 

Partager cet article
Repost0
9 janvier 2013 3 09 /01 /janvier /2013 10:42

les commentaires se font rares, domage, je sais que mes poèmes sont lus mais je ne sais pas ce que les lecteurs en pensent, frustration, prenez quelques secondes et laissez un commentaire, satisfactions

Partager cet article
Repost0
6 janvier 2013 7 06 /01 /janvier /2013 09:26

larmes-nucleaire.jpg

Larmes nucléaires

 

Une immense étendue silencieuse

L’enfant est blottie contre sa mère

Elle murmure à l’enfant une berceuse

Ou bien est ce les mots d’une prière.

 

Une immense étendue silencieuse

Est-ce le paradis ou l’enfer ?

Inodore, incolore, insidieuse

La brume du matin l’a recouvert.

 

C’était bel et bien un conte de fée

Grande dame installée au bord de l’eau

Un monstre de béton et d’acier

Avec un cœur bon et chaud.

 

Madame la fée électricité

De fil en poteaux propage la vie

L’homme dans son infinie épopée

C’est rendu maitre de l’énergie

 

La fin de l’histoire c’est dame nature

Qui l’écrit dans les larmes et le sang

Avec autant de désinvolture

Et autant en emporte le vent

 

Le cœur du géant c’est arrêté

Quand la terre a tremblée sous ses pieds

Le cœur du géant c’est enflammé

Lorsque les vagues l’ont encerclé

 

L’homme dans son infinie ignorance

Ne pouvant faire face aux éléments

Les yeux au ciel, plein de souffrance

Implore tous les dieux qu’ils soient clément

 

Une immense étendue silencieuse

Où toute vie peut à peut s’éteint

C’est sans doute la dernière berceuse

Sur une mer de larmes et de chagrin.

©Renato Battaglia – 15-03-2011

Partager cet article
Repost0